Les feuilles de votre viorne étaient très belles et le lendemain, il ne reste plus rien, que les nervures( avec un peu de chance!) Vous êtes victime de la galéruque de la viorne.
Ce petit coléoptère s’attaque aux feuilles de plusieurs variétés de viornes. Les larves, qui ressemblent à de courtes chenilles jaune et noir commencent leur travail destructeur en mai, dès l’éclosion des œufs.
En juin, elles descendent sous terre et se transformeront en coléoptères allongés qui émergeront fin juillet pour terminer le travail.
Les femelles pondent leurs œufs sur les rameaux inférieurs. On les découvre souvent en automne quand les feuilles sont tombées. On peut alors couper les branches atteintes pour réduire la population de l’année suivante.
En saison, on peut utiliser un insecticide à base de pyréthrine ou de l’huile de stade dormant avant le débourrement des bourgeons.
Le plus simple est de choisir des variétés de viornes plus résistantes comme le Lentago.
En étant vigilant, on pourra réduire l’infestation et profiter de cet arbuste magnifique qu’est la viorne!
Vous avez remarqué de beaux trous bien ronds sur vos feuilles de rosiers ou autres feuilles lisses? C’est l’oeuvre de l’abeille découpeuse de feuille, un insecte peu connu qui fréquente nos jardins. Aucunement agressive, cette abeille solitaire n’attaque que lorsqu’elle se sent en danger et sa piqûre est presque indolore. De plus, ses dommages, bien
L’automne et ses soirées fraîches arrivent à grand pas. Vos belles plantes d’intérieur installées sur la galerie afin de profiter de la chaude température estivale demanderont bientôt d’entrer à la maison. Que faut-il savoir/faire? Il est tout d’abord important de bien les nettoyer à l’aide de savon insecticide (on peut aussi utiliser le savon noir).
L’hiver, avec sa neige et son verglas, a été cruel pour nos arbres. Beaucoup d’entre nous avons eu de mauvaises surprises au moment d’inspecter nos végétaux au printemps. On découvre plusieurs branches cassées… Doit-on s’inquiéter ? Si la branche tient encore à l’arbre grâce à son écorce, il est possible de refermer la blessure en l’attachant
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade. Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs. On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment.
La galéruque de la viorne
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