Le gui, plante sous laquelle on s’embrasse au nouvel an, est un sous- arbrisseau sans racine qui parasite les arbres grâce à ses suçoirs qui lui permettent de prélever la sève de son hôte. Le gui poussant sur le chêne était le plus recherché par les druides gaulois parce que très rare. Sa couleur verte même au cœur de l’hiver faisait de lui le symbole de la vie perpétuelle. On lui prêtait de nombreux pouvoirs.
Plante plus ou moins nocive selon l’arbre sur lequel il se développe, il est, par exemple, plus toxique lorsqu’il pousse sur un peuplier que sur un pommier.
Le houx est un arbuste cultivé pour ses feuilles découpées très lustrées et pour ses fruits rouge-vif. Une légende chrétienne raconte que la Sainte-Famille en fuite se serait cachée dans un buisson de houx. Son feuillage persistant toujours vert, allégorie du triomphe de la vie sur la mort et son allure colorée très graphique en fait encore aujourd’hui un symbole très fort du temps des fêtes.
La saponaire, une vivace bien connue et facile à cultiver possède une qualité très étrange. Ses rhizomes, riches en saponine, ont la particularité de produire une mousse semblable à celle du savon une fois mélangés avec de l’eau. La saponaire est encore aujourd’hui utilisée comme détersif pour les vêtements délicats et comme shampoing doux.
La fraxinelle, une autre vivace aux belles fleurs roses ou blanches, exhale des arômes de citron. L’été, la plantes se couvre d’une substance inflammable très volatile. Lors de grandes chaleurs, elle produira des étincelles si on approche une allumette ou un briquet.
Le champignon Ophiocordyceps unilateralis, qu’on trouve dans certaines régions tropicales, s’attaque aux muscles de certaines fourmis, les transformant en marionnettes. La science n’a pas encore réussi à expliquer de quelle façon ce parasite force l’insecte à grimper sur de hautes herbes et à y enfoncer ses mandibules. Placée en hauteur, la pauvre fourmi faibli et meurt, le champignon sortira par la tête de la victime et pourra disséminer ses spores plus facilement. Plusieurs vidéos sont disponibles sur le web, cœur sensible s’abstenir!
Le chou puant est une plante indigène au Québec. Il est rare de le voir en fleur et en feuilles en même temps. Et ce n’est pas là sa seule particularité! Bien que plusieurs végétaux aient la capacité de générer de la chaleur, le chou puant est un des rare capables de réguler sa température. Il peut donc conserver une température corporelle de plus de 30 °C au dessus de la température ambiante. Outre son odeur de putréfaction qui attire les pollinisateurs (les mouches, entre autres) cette chaleur fournis un cocon bien douillets à ces insectes, favorisant leur reproduction.
Il est facile d’observer le chou puant au printemps car il fait fondre la neige autour de lui, dégageant un petit ilot de terre. Une autre bonne raison d’aller se promener en forêt!
Vos tomates sont déformées, pleines de crevasses et de boursouflures? Vous êtes en présence non pas d’une maladie, mais d’un simple désordre appelé catface, ou face de chat. Les variétés à gros fruits sont les plus sensibles à cette malformation. La raison? Les températures inférieures à 15° C pendant la floraison sont les plus grandes
Arbre de Noël naturel ou artificiel ? L’impact écologique ? Quelle merveilleuse coutume que de décorer un sapin en famille ! Quel bel ornement dans nos maisons, porteur de joie et d’émerveillement… et d’un certain pincement au cœur lorsqu’on réfléchi aux conséquences d’une telle décoration ! Nous avons étudié pour vous l’impact environnemental de ce roi des fêtes, en
Les fourmis sont bien connues des jardiniers, ainsi que les petits monticules qu’elles laissent sur les pelouses, les terrasses ou les jardins potagers. Beaucoup de gens veulent s’en débarrasser à tout prix, souvent sans trop savoir pourquoi ils mènent cette lutte acharnée. Doit-on les éliminer ou les traiter en amies? (Nous ne parlerons pas des
Les feuilles de vos plants de betteraves présentent des zones grises, séchées ou boursouflées? C’est l’œuvre de la mineuse de la betterave dont la larve se développe entre les deux couches d’épiderme de la feuille. Si les dégâts sont superficiels dans le cas de la betterave car les asticots ne s’attaquent pas aux racines, il
Faits insolites, 4ème partie.
Le gui, plante sous laquelle on s’embrasse au nouvel an, est un sous- arbrisseau sans racine qui parasite les arbres grâce à ses suçoirs qui lui permettent de prélever la sève de son hôte. Le gui poussant sur le chêne était le plus recherché par les druides gaulois parce que très rare. Sa couleur verte même au cœur de l’hiver faisait de lui le symbole de la vie perpétuelle. On lui prêtait de nombreux pouvoirs.
Plante plus ou moins nocive selon l’arbre sur lequel il se développe, il est, par exemple, plus toxique lorsqu’il pousse sur un peuplier que sur un pommier.
Le houx est un arbuste cultivé pour ses feuilles découpées très lustrées et pour ses fruits rouge-vif. Une légende chrétienne raconte que la Sainte-Famille en fuite se serait cachée dans un buisson de houx. Son feuillage persistant toujours vert, allégorie du triomphe de la vie sur la mort et son allure colorée très graphique en fait encore aujourd’hui un symbole très fort du temps des fêtes.
La saponaire, une vivace bien connue et facile à cultiver possède une qualité très étrange. Ses rhizomes, riches en saponine, ont la particularité de produire une mousse semblable à celle du savon une fois mélangés avec de l’eau. La saponaire est encore aujourd’hui utilisée comme détersif pour les vêtements délicats et comme shampoing doux.
La fraxinelle, une autre vivace aux belles fleurs roses ou blanches, exhale des arômes de citron. L’été, la plantes se couvre d’une substance inflammable très volatile. Lors de grandes chaleurs, elle produira des étincelles si on approche une allumette ou un briquet.
Le champignon Ophiocordyceps unilateralis, qu’on trouve dans certaines régions tropicales, s’attaque aux muscles de certaines fourmis, les transformant en marionnettes. La science n’a pas encore réussi à expliquer de quelle façon ce parasite force l’insecte à grimper sur de hautes herbes et à y enfoncer ses mandibules. Placée en hauteur, la pauvre fourmi faibli et meurt, le champignon sortira par la tête de la victime et pourra disséminer ses spores plus facilement. Plusieurs vidéos sont disponibles sur le web, cœur sensible s’abstenir!
Le chou puant est une plante indigène au Québec. Il est rare de le voir en fleur et en feuilles en même temps. Et ce n’est pas là sa seule particularité! Bien que plusieurs végétaux aient la capacité de générer de la chaleur, le chou puant est un des rare capables de réguler sa température. Il peut donc conserver une température corporelle de plus de 30 °C au dessus de la température ambiante. Outre son odeur de putréfaction qui attire les pollinisateurs (les mouches, entre autres) cette chaleur fournis un cocon bien douillets à ces insectes, favorisant leur reproduction.
Il est facile d’observer le chou puant au printemps car il fait fondre la neige autour de lui, dégageant un petit ilot de terre. Une autre bonne raison d’aller se promener en forêt!
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