« La force, c’est de pouvoir casser une barre de chocolat en quatre et de n’en manger qu’un carré. »
Judith Viorst
Le chocolat a d’abord été utilisé il y a 4000 ans en Amérique latine pour les rituels et comme médicament. Sa forme n’avait rien à voir avec la friandise sucrée et onctueuse que nous connaissons aujourd’hui. Nommé « boisson des dieux », le chocolat n’était alors qu’une boisson très amère agrémentée de plusieurs épices.
Au 16e siècle, le chocolat, importé en Espagne, demeure une boisson. On a eu la bonne idée de lui ajouter du sucre ou du miel pour en adoucir le goût. Suivent plusieurs expérimentations plus ou moins réussies qui nous mènent en 1879, dans les ateliers de M. Rudolf Lindt. Ce chocolatier suisse a accidentellement inventé le « conchage », un nouveau procédé qui consiste à brasser le chocolat plus longtemps, ce qui affine la pâte chocolatée et la rend plus fondante. Le chocolat tel que nous le connaissons était né !
Mais d’où vient le chocolat ?
Le cacao provient de fèves de cacao, elles-mêmes produites à l’intérieur des cabosses, fruits du cacaoyer de la grosseur d’un ballon de rugby. Les plus grands producteurs de cacao se trouvent en Afrique et en Amérique latine.
Un cacaoyer produit environ 1 kg de cacao par an. Les fleurs acaules (à même le tronc) éclosent en quantité sur l’arbre, mais sont difficiles à polliniser. Seulement une fleur sur 500 donnera une cabosse, et une cabosse sur 8 parviendra à maturité.
Chaque cabosse contient une quarantaine de fèves. Enrobées d’une pulpe blanche et sucrée, les fèves, une fois récoltées, doivent être traitées rapidement, sinon elles pourrissent dans les sacs de transport. À ce stade, les fèves sont très amères et ne peuvent en aucun cas être consommées.
Elles devront subir une fermentation et ensuite être séchées au soleil jusqu’à perdre 90 % de leur humidité. Vient ensuite l’étape de la torréfaction, procédé qui développera tous les arômes du chocolat.
Les fèves torréfiées sont ensuite broyées pour obtenir une pâte de cacao, qui, chauffée, devient liquide. On extrait ensuite par pression le beurre de cacao. Les résidus solides donnent le cacao en poudre.
Le chocolatier « cuisine » alors son chocolat selon sa recette personnelle pour notre plus grand plaisir.
Vous voulez plus de détail sur la fabrication du chocolat? Cliquez-ici!
Noir, au lait, blanc, aux noisettes…. Avec quel chocolat fêterez-vous la Saint-Valentin?
Le guide des semis Même si la neige couvre encore nos potagers, il est déjà temps de penser aux récoltes estivales ! Bien que plusieurs légumes se sèment en pleine terre après le dernier gel au sol, nous pouvons dès à présent préparer les semis de certaines plantes potagères. Comment se procurer les semis et
La plantation des bulbes d’automne et de l’ail comestible. Quoi de mieux pour chasser la déprime de l’hiver qu’une plate-bande bien fleurie dès le printemps? Grâce aux bulbes d’automne, il est possible d’avoir de belles fleurs rapidement! Mais encore faut-il savoir comment, où et quand les planter… Tous les bulbes préfèrent les sols bien drainés
Les rosiers sont des plantes magnifiques mais à part quelques variétés rustiques (les rugosa, entre autres) plusieurs ravageurs peuvent rapidement leur faire la peau. Les pucerons, petits insectes dodus noirs, verts ou roses se tiennent en groupes sur les nouvelles tiges et les boutons de fleurs. Ils laissent un miellat collant qui peut entraîner des
Du chocolat pour la St-Valentin?
« La force, c’est de pouvoir casser une barre de chocolat en quatre et de n’en manger qu’un carré. »
Judith Viorst
Le chocolat a d’abord été utilisé il y a 4000 ans en Amérique latine pour les rituels et comme médicament. Sa forme n’avait rien à voir avec la friandise sucrée et onctueuse que nous connaissons aujourd’hui. Nommé « boisson des dieux », le chocolat n’était alors qu’une boisson très amère agrémentée de plusieurs épices.
Au 16e siècle, le chocolat, importé en Espagne, demeure une boisson. On a eu la bonne idée de lui ajouter du sucre ou du miel pour en adoucir le goût. Suivent plusieurs expérimentations plus ou moins réussies qui nous mènent en 1879, dans les ateliers de M. Rudolf Lindt. Ce chocolatier suisse a accidentellement inventé le « conchage », un nouveau procédé qui consiste à brasser le chocolat plus longtemps, ce qui affine la pâte chocolatée et la rend plus fondante. Le chocolat tel que nous le connaissons était né !
Mais d’où vient le chocolat ?
Le cacao provient de fèves de cacao, elles-mêmes produites à l’intérieur des cabosses, fruits du cacaoyer de la grosseur d’un ballon de rugby. Les plus grands producteurs de cacao se trouvent en Afrique et en Amérique latine.
Un cacaoyer produit environ 1 kg de cacao par an. Les fleurs acaules (à même le tronc) éclosent en quantité sur l’arbre, mais sont difficiles à polliniser. Seulement une fleur sur 500 donnera une cabosse, et une cabosse sur 8 parviendra à maturité.
Chaque cabosse contient une quarantaine de fèves. Enrobées d’une pulpe blanche et sucrée, les fèves, une fois récoltées, doivent être traitées rapidement, sinon elles pourrissent dans les sacs de transport. À ce stade, les fèves sont très amères et ne peuvent en aucun cas être consommées.
Elles devront subir une fermentation et ensuite être séchées au soleil jusqu’à perdre 90 % de leur humidité. Vient ensuite l’étape de la torréfaction, procédé qui développera tous les arômes du chocolat.
Les fèves torréfiées sont ensuite broyées pour obtenir une pâte de cacao, qui, chauffée, devient liquide. On extrait ensuite par pression le beurre de cacao. Les résidus solides donnent le cacao en poudre.
Le chocolatier « cuisine » alors son chocolat selon sa recette personnelle pour notre plus grand plaisir.
Vous voulez plus de détail sur la fabrication du chocolat? Cliquez-ici!
Noir, au lait, blanc, aux noisettes…. Avec quel chocolat fêterez-vous la Saint-Valentin?
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