Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin.
On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres. Il fréquente assidûment le tas de compost où il favorise la décomposition des végétaux. Il remet donc en circulation les éléments nutritifs facilement assimilables pour nos végétaux.
Les cloportes ne mordent pas, ne piquent pas, de s’attaquent pas au bois ou aux tissus, ne transmettent aucune maladie et ne sont pas attirés par la nourriture. La seule chose qu’on peut leur reprocher est leur sans-gène quand il s’agit de visiter nos maisons.
Considérons plutôt leur présence dans nos demeures comme un signal d’alarme. Il y a peut-être un excès d’humidité qui les attire. Il suffit de trouver le problème et le tour est joué.
Évidemment, s’ils se trouvent en très grand nombre à l’intérieur, ces petits animaux peuvent rendre notre vie désagréable. On peut alors demander à un exterminateur de traiter. Sinon, dans le jardin ou au potager, on apprend à les supporter, même si leur présence peut nous faire sursauter quelque fois!
Mise en garde (Les renseignements contenus dans cette fiche sont donnés à titre indicatif seulement. Ils ne peuvent en aucun cas remplacer l’information fournie sur l’étiquette d’un produit.) Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans
Voici quelques conseils de Marie-Hélène, horticultrice chez nous : Les poivrons sont des plantes qui ont besoin de beaucoup de chaleur pour se développer, ce qui est parfois plus difficile à obtenir au Québec. Nous avons une solution pour vous: cultiver vos plants de poivrons en pot! C’est encore mieux si vous avez des pots
Sphaigne, mousse de tourbe, « peat moss », mousse espagnole, de quoi en perdre son latin ! Démêlons un peu tout ça ! La sphaigne est une espèce de mousse qu’on cultive au Chili, dans des endroits à la forte pluviométrie. Elle est très utilisée pour la culture d’orchidées, de plantes carnivores et plantes épiphytes. Son PH est neutre,
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les
Les cloportes
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin.
On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres. Il fréquente assidûment le tas de compost où il favorise la décomposition des végétaux. Il remet donc en circulation les éléments nutritifs facilement assimilables pour nos végétaux.
Les cloportes ne mordent pas, ne piquent pas, de s’attaquent pas au bois ou aux tissus, ne transmettent aucune maladie et ne sont pas attirés par la nourriture. La seule chose qu’on peut leur reprocher est leur sans-gène quand il s’agit de visiter nos maisons.
Considérons plutôt leur présence dans nos demeures comme un signal d’alarme. Il y a peut-être un excès d’humidité qui les attire. Il suffit de trouver le problème et le tour est joué.
Évidemment, s’ils se trouvent en très grand nombre à l’intérieur, ces petits animaux peuvent rendre notre vie désagréable. On peut alors demander à un exterminateur de traiter. Sinon, dans le jardin ou au potager, on apprend à les supporter, même si leur présence peut nous faire sursauter quelque fois!
Crédit photo: bioparcgaspesie.blogspot.com
Related Posts
Le gluten de maïs, l’anti-mauvaises herbes
Mise en garde (Les renseignements contenus dans cette fiche sont donnés à titre indicatif seulement. Ils ne peuvent en aucun cas remplacer l’information fournie sur l’étiquette d’un produit.) Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans
Des poivrons qui mûrissent pour vrai!
Voici quelques conseils de Marie-Hélène, horticultrice chez nous : Les poivrons sont des plantes qui ont besoin de beaucoup de chaleur pour se développer, ce qui est parfois plus difficile à obtenir au Québec. Nous avons une solution pour vous: cultiver vos plants de poivrons en pot! C’est encore mieux si vous avez des pots
Les mousses et sphaignes horticoles
Sphaigne, mousse de tourbe, « peat moss », mousse espagnole, de quoi en perdre son latin ! Démêlons un peu tout ça ! La sphaigne est une espèce de mousse qu’on cultive au Chili, dans des endroits à la forte pluviométrie. Elle est très utilisée pour la culture d’orchidées, de plantes carnivores et plantes épiphytes. Son PH est neutre,
Les perce-oreilles
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les