Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les vergers en Europe!
Il est vrai que lorsqu’ils ne trouvent plus rien à se mettre sous la dent, il leur arrive de s’attaquer aux pétales de fleurs, notamment des marguerites, dahlias et rosiers. Accidentellement, ils se réfugient parfois dans nos maisons car ils préfèrent les endroits ombragés, mais c’est bien malgré eux car ils n’y trouveront rien à manger et risqueront de mourir de faim.
L’un dans l’autre, tant que sa population est raisonnable, le perce-oreilles reste un précieux allié. Même si on doit lui sacrifier quelques pousses tendres, ses services rendus valent bien les légers désagréments encourus!
Le byture du framboisier est beaucoup plus connu qu’on le pense. Eh oui, c’est sa larve blanchâtre qui gâche notre dégustation de framboises par sa seule présence dans le fruit. L’insecte adulte est un petit coléoptère gris et duveteux. Il surgit du sol au printemps après son hivernation, s’accouple et la femelle pond ses œufs
Les fêtes de Noël arrivent à pas de géant, les cadeaux brilleront de mille feux sous le sapin. La joie de voir nos proches déballer avec enthousiasme leurs présents est toutefois ternie par tous ces morceaux de papier déchiré qui prendront la route de la poubelle ou, un petit peu mieux, celle du bac à
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.
Les phytoptes sont de petits acariens gallicoles dont on voit les dommages en début d’été, souvent sur les feuilles d’érables. On les appelle phytoptes vésiculaires de l’érable et on les reconnaît aux galles allongées sur ou dessous les feuilles d’érables. Les adultes hivernent sur le tronc de l’arbre et s’alimentent sur les bourgeons. Leurs piqures
Les perce-oreilles
Les perce-oreilles
Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les vergers en Europe!
Il est vrai que lorsqu’ils ne trouvent plus rien à se mettre sous la dent, il leur arrive de s’attaquer aux pétales de fleurs, notamment des marguerites, dahlias et rosiers. Accidentellement, ils se réfugient parfois dans nos maisons car ils préfèrent les endroits ombragés, mais c’est bien malgré eux car ils n’y trouveront rien à manger et risqueront de mourir de faim.
L’un dans l’autre, tant que sa population est raisonnable, le perce-oreilles reste un précieux allié. Même si on doit lui sacrifier quelques pousses tendres, ses services rendus valent bien les légers désagréments encourus!
Related Posts
Des vers dans les framboises
Le byture du framboisier est beaucoup plus connu qu’on le pense. Eh oui, c’est sa larve blanchâtre qui gâche notre dégustation de framboises par sa seule présence dans le fruit. L’insecte adulte est un petit coléoptère gris et duveteux. Il surgit du sol au printemps après son hivernation, s’accouple et la femelle pond ses œufs
Emballage cadeau éco-responsable
Les fêtes de Noël arrivent à pas de géant, les cadeaux brilleront de mille feux sous le sapin. La joie de voir nos proches déballer avec enthousiasme leurs présents est toutefois ternie par tous ces morceaux de papier déchiré qui prendront la route de la poubelle ou, un petit peu mieux, celle du bac à
Les cloportes
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.
Les phytoptes, plus de peur que de mal
Les phytoptes sont de petits acariens gallicoles dont on voit les dommages en début d’été, souvent sur les feuilles d’érables. On les appelle phytoptes vésiculaires de l’érable et on les reconnaît aux galles allongées sur ou dessous les feuilles d’érables. Les adultes hivernent sur le tronc de l’arbre et s’alimentent sur les bourgeons. Leurs piqures